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Entrez dans ma danse

VIP-Blog de ninanet
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  • Créé le : 10/08/2010 10:49
    Modifié : 17/07/2025 08:36

    Fille (70 ans)
    Origine : saint raphaël
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    [ cinéma ] [ peinture ] [ littérature ] [ polar ] [ poésie ] [ roman jeunesse ] [ critiques ] [ mes humeurs ] [ Zinzolin ]

    Fête des mamies

    05/03/2012 08:47



    Bonne fête les mamies.

    C'était hier ? Eh bien pour moi ce sera aujourd'hui. Et voulez-vous savoir pourquoi je la souhaite là ce matin ? Par rébellion ? Que nenni ! Par solidarité !

    C'est juste que je voudrais souhaiter une belle fête aux mamies oubliées. Celles qu'on n'a pas fêtées par distraction, par égoïsme, par radinerie, par .... c'est commercial. Trop facile !

    Je voudrais leur dire qu'elles n'ont pas démérité. Bien au contraire. C'est qu'elles sont si gentilles, qu'on peut tout leur demander, qu'elles répondent toujours présentes sur le pont du bateau ou dans la guérite à monter la garde comme de vaillants soldats. Qu'elles ouvrent leurs bras, leur coeur et leur porte-monnaie toujours à la bonne date, au bon moment. Qu'elles savent sévir pour le bien des petits et leur apprendre les bonnes règles de la vie. Par contre ça c'est mal toléré ... uniquement des parents. J'ai entendu le fils d'une voisine lui dire "l'éducation c'est nous, ne t'en mêle pas". (C'est comme les cuisines ... C'est Schmi ...) Sauf que des petits enfants ce ne sont pas du bois ni des lave-vaisselles. C'est un cadeau du ciel ! C'est du bonheur !

    Aussi je vous embrasse, mamies oubliées. Pour les nombreuses fois où vous avez été sollicitées. Pour l'amour que vous avez prodigué au détriment bien souvent de vous-même, et pour vous en remercier, je vous invite à vous faire plaisir. Soyez joyeuses aujourd'hui en allant prendre une pâtisserie dans un salon de thé, avec une amie c'est encore mieux. Allez au cinéma, allez chez le coiffeur. Pensez à vous ! Personne ne le fera pour vous. On n'est jamais mieux servi que par soi-même. C'est la vie ! C'est parce que vous le valez bien !

    Ah ces chers chérubins, on les aime tant !









    La France que j'aime !

    04/03/2012 10:25



    Oui ! Hier, chez Cultura à Puget sur Agens, j'ai rencontré la France que j'aime. La France généreuse à l'écoute de l'autre ... et l'autre c'était moi. Je suis arrivée à faire passer mon émotion sans trémolo, juste avec ma sincérité, mes mots de tous les jours mais qui riment avec Amour.

    L'Amour sous toutes ses formes :

    - Celui de tous ces petits enfants qui voulaient offrir mon livre à leurs mamies. Leurs yeux brillants de plaisir, la voix qui s'éraille en énonçant les prénoms des dédicaces : moumoune, mère-grand, mamie, cathylou et le plus mignon fut "mamiedamour" tout attaché m'a-t-on précisé. La poule au pot d'Henri IV et les mamies à la fête. Quel bonheur !

    - Celui d'un monsieur grisonnant mais bien droit sur ses jambes qui m'observait, un peu à l'écart, en fronçant les sourcils. Qui se rapprochait de plus en plus pour mieux m'entendre présenter mon roman. Il lui a sûrement fallu prendre son courage à deux mains pour m'aborder. "Madame, je vous félicite. Cela fait un moment que je vous observe (je me suis bien gardée de lui avouer que je l'avais remarqué). Je vais vous faire un aveu, j'ai lu énormément dans ma vie, hélas je ne peux plus mais au moins j'aurais eu une fois dans ma vie le plaisir de parler avec un auteur. Gardez votre simplicité". Il s'en est allé discrètement avant même que j'aie pu lui répondre.

    - Celui d'une très jeune femme. Elle fouinait dans un rayonnage de livres policiers. Visiblement, elle cherchait  son polar du dimanche. Elle s'est tournée vers moi et m'a regardée avec curiosité, un léger sourire en coin qui exprimait très fort "encore une romancière à l'eau de rose". Elle s'est approchée de moi et tout de go m'annonce "je déteste ce genre de livres". Cela avait le mérite d'être clair.  Je lui ai expliqué mon parcours. Nous avons discuté, et au bout d'un moment d'un bon échange, je lui ai demandé de lire au moins la quatrième de couverture de mon roman pour porter un jugement en connaissance de cause. Et là le miracle s'est produit, j'avais réussi à apprivoiser mon petit animal sauvage. Lorsque je lui ai demandé son prénom pour la dédicace "Annette", là j'ai compris que le hasard avait provoqué une belle rencontre. Elle m'a promis de garder le contact.

    - Un couple qui voulait offrir mon livre à leur fille pour son anniversaire. Ils étaient tout émus. Ils ont ajouté "un livre dédicacé spécialement à notre Chiara, ça va lui faire plaisir".

    La journée fut ainsi émaillée d'éclats de diamants, de perles rares, de bouts de soleils de ma Provence.

    Je laisse le meilleur pour la fin :

    L'Amour du travail bien fait. Et je voudrais vraiment offrir en lettres d'or un MERCI, MERCI à l'équipe de Cultura. Un accueil des plus dignes pour le tout petit auteur que je suis.

    À mon arrivée, dès l'entrée, je découvris ma belle affiche promotionnelle annonçant ma signature-dédicaces glissée dans un chevalet posé sur une table. Mes livres empilés en quinconce artistiquement. Deux autres affiches format A3 aux caisses. Ouah !!! De joli(e)s papillons en jaune et bleu oeuvraient en souriant. Efficaces sans mouvements superflus. Elles virevoltaient autour de moi comme un beau présage. Elles réalignaient un livre indiscipliné sorti du rang, elles remettaient en rayon un livre reposé un peu plus loin par un étourdi, elles renseignaient sans l'ombre d'un doute l'étagère où l'on pouvait trouver tel ou tel roman. Je sentais leur froufroutement qui m'enivrait. Elles étaient trois ou quatre mais jamais un mot plus haut que l'autre, qui était la CHEF ? impossible de le savoir. C'était toutes des Chefs. Le contact s'est établi immédiatement. On m'a proposé un café le matin. Puis un peu plus tard on m'a apporté une bouteille d'eau. A 17h j'ai eu droit à mon goûter, des madeleines. Ouah !!! La madeleine de Proust. Un symbole, non ?

    Le monde au travail, les livres qui s'achètent avec plaisir et gourmandise (beaucoup m'ont dit, je commence votre livre dès mon retour à la maison), les sourires et la confiance des Varois. Et Cultura, le dôme de la Culture.

    La France que j'aime !








    Dédicaces

    02/03/2012 22:20




    Demain journée dédicaces au Cultura de Puget sur Argens.

    Je m'en réjouis par avance car je sais que je vais rencontrer des gens passionnés de littérature. Les échanges sont à chaque fois très forts, très émouvants et surtout sincères. 

    L'écriture de cette saga romanesque, purement fictionnelle, a été un véritable moment de bonheur.  J'ai essayé de parler avec mon coeur de tous les sujets qui interpellent mes lecteurs. J'ai surtout parlé de l'Amour, des Amours qui riment avec générosité et rêve. Du rêve nous en avons tous besoin dans ce monde difficile. Le rêve et l'Amour pour toujours garder la tête hors de l'eau et se dire que la Vie vaut la peine d'être vécue.

    Merci aux deux messages privés reçus sur mon blog. Cela m'a beaucoupo touchée.






    L'amitié

    29/02/2012 16:17



    Mon précédent article a suscité deux commentaires et les deux se rejoignent sur un même thème : l'Amitié.

    Il en va de l'Amitié comme de l'Amour.

    Le sentiment est exactement le même. Définition commune : attachement mutuel. Mais qui dit attachement peut penser à détachement. On aime (on est aimé) un jour, puis, plus le lendemain.  Sans raison apparente. Tout simplement parce qu'on ne plait plus. Tout simplement parce qu'on n'a pas su retenir l'autre. Pas su ou pas voulu. Plutôt plus voulu continuer à souffrir et je repense à CH.Aznavour qui a chanté avec tant de talent "il faut savoir quitter la table, lorsque l'amour est desservi ... pour s'en aller sans faire de bruit".

    Il en va de l'Amour comme de l'Amitié.

    Un jour "faites vos jeux, plus rien ne va". Comme à la roulette. L'autre s'éloigne sans se retourner. Et vous restez là, planté comme une bougie qui fond et qui finit par s'éteindre faute de combustible.

    Pas la moindre petite flamme!

    Ce qui ne s'éteindra jamais c'est ce temps passé à deux au milieu des autres, à vivre, à se raconter, à se consoler, à se faire confiance. Tous nos mails échangés, nos appels téléphoniques hebdomadaires respectés scrupuleusement des nôtres. Tous nos voyages partagés, toujours seules au milieu des autres, au fin fond du monde. Des Etas Unis à la Chine en passant par les Caraïbes. Sans oublier les nuits blanches de St Petersbourg, la montgolfière au Mont St Michel... Elle était aussi infatigable que  notre amitié était invincible. Son regard me portait et le mien la remerciait. Elle savait si bien m'écouter. À mi mots me comprenait. Petit à petit nos confidences , plus les miennes que les siennes, allaient crescendo. Je lui disais toujours "c'est trop beau pour être vrai". Elle était de douze ans ma cadette, encore en activité. Moi dans le grand placard d'une retraite dorée. Lorsque j'ai commencé à écrire, sur ses conseils impérieux, elle m'a portée, encouragée, sublimée. Elle était là ! Puis, hélas, quelques signes avant-coureurs m'alarmèrent. Quelques réponses sèches. Quelques regards froids. Quelques mails restés sous silence. Quelques agacements. Aussitôt elle revenait pour s'éloigner davantage.  Le jeu du chat et de la souris lui seyait à merveille. Pourquoi ? Qui saurait le dire ? Un beau jour j'ai dit STOP ! Et cela fait exactement quatorze mois qu'elle me manque. Mon amie, mon double.

     






    Les réseaux sociaux

    28/02/2012 23:08



    J'ose l'avouer je suis, non plus tôt j'étais une anti, anti réseaux sociaux. Les Facebook, twitter et autres n'étaient pas du tout de mon resort.

    Puis un jour, un ami auteur m'invite à le rejoindre dans un groupe de discussions. Tout d'abord j'ai opposé un refus net. Pas question de perdre ne serait-ce qu'une heure à "blablater", ni à me chatouiller le nombril.  Circulez je n'ai rien à dire ! Ou tout du moins j'ai mon roman à terminer.

    Quelque temps plus tard, une autre invitation parvient dans ma boite mails. Toujours du même ami auteur. Là pour ne pas paraitre grossière, j'ai accepté tout en me promettant de pratiquer la politique de l'autruche, à savoir ne jamais y aller. Seulement voilà, de jour en jour je recevais des solicitations diverses. Une fois, pour rire, j'ai donné mon avis. On m'a répondu, j'ai re répondu. Je me suis prise au jeu et j'ai mordu à l'hameçon. J'ai mordu "grave" dans le langage des jeunes. C'était devenu une drogue. Je travaillais sur mon livre mais avec un oeil rivé sur ma boite mails au cas où. Et hop je sautais sur la discussion qui démarrait, en délaissant le reste.

    Un matin j'ai reçu un mail d'un certain Jean qui me conseillait de lâcher prise. "Vous êtes encore jeune et jolie pour vous contenter d'amis virtuels" m'a-t-il écrit. J'ai été piquée au vif. Et tout en le remerciant j'ai mis la pédale douce. Ce qui a motivé un autre mail d'une personne fort charmante qui s'inquiétait de mon silence. Puis tout doucement nous avons sympathisé. Puis tout doucement nous nous sommes trouvés des points communs. Elle a acheté mes livres, les a beaucoup appréciés. Je suis allée sur son site et j'ai adoré son exposition "la laisse de mer". D'autres sont venus se joindre à nos conversations. Des hommes, des femmes, tous artistes, tous avec de véritables esprits créatifs. Des passionnés. Et l'un d'eux lança l'idée géniale de créer une fresque géante avec peintures, poésies, des mots à l'infini. Une histoire folle est en train de se mettre en route.  Elle prend forme et bientôt, très bientôt nous allons nous retrouver pour exposer notre fresque. Nous en profiterons pour faire connaissance. Du virtuel au réel.

    Une belle chaîne d'amitié pointe le bout de son nez. Elle disparaitra peut-être aussi vite qu'elle a pris naissance mais elle laissera en chacun de nous une trace indélébile. Pour le moment nous savourons ce véritable conte de fées.

    Les réseaux sociaux, oui ! mais attention point trop n'en faut !  








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