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Entrez dans ma danse

VIP-Blog de ninanet
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  • Créé le : 10/08/2010 10:49
    Modifié : 17/07/2025 08:36

    Fille (70 ans)
    Origine : saint raphaël
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    [ cinéma ] [ peinture ] [ littérature ] [ polar ] [ poésie ] [ roman jeunesse ] [ critiques ] [ mes humeurs ] [ Zinzolin ]

    Exister ... Bonheur !

    04/07/2013 21:37



    Le seul fait d’exister est un véritable bonheur de Blaise Cendrars

    Est-ce si simple ? Est-ce que le seul fait d’exister est un bonheur, un véritable bonheur ou un passage obligé ? Est-ce que de se dire « j’existe et c’est magnifique »  rend les choses plus faciles ?  Est-ce que la raison permet ce genre de pensées un peu simpliste ? Bien sûr que non !

    Alors ? Blaise Cendrars se serait trompé ? Ou alors Blaise Cendrars  qui a également écrit « Je ne trempe pas ma plume dans un encrier mais dans la vie » avait cette faculté de voir, de comprendre, d’analyser, d’aimer, de VIVRE. À l’encre bleue du ciel, noire des orages, rouge du baiser, verte de l’espoir. Couleurs arc en ciel de la VIE.

    Car au fond, exister avec Bonheur ça existe ! Coexister avec Bonheur c’est Vital !

    Car au fond, le Bonheur  c’est quoi ? Où et comment le chercher, le trouver, le récupérer ? Partout !

    Et surtout comment le garder ? Il faut toute une vie !

    L’autre jour, je lisais une chronique sur un blog ami, celui de Cathy. Soudain j’entendis quelques accords de guitare, puis un cri du coeur "Bella", une musique entraînante, puissante, exotique, « Bella », sur des paroles qui m’ont touchée, Bella, une femme libre, à la beauté du diable et un homme fou amoureux à ses pieds, prêt à se damner pour Bella. Trois minutes cinquante de bonheur exclusif qui finissaient par m’obséder. Bella m’attirait  au point de revenir chaque jour chez Cathy la réécouter pour prendre ma part de rêve. Ma petite part de bonheur.

    Le lendemain, tout un après-midi, chez Chiara mon amie. Un échange en éclats de rire, en complicité, en approche amicale, en découvertes encore et encore. Je lui avais apporté un bouquet de tiges mauves du jardin, ma lavande, qui sentait la meilleure odeur du monde, l’odeur de notre amitié indéfectible et je suis repartie avec un petit bouquet de pois de senteurs, délicat comme elle, de son jardin.

    Dans mon blog, des commentaires tout en mots qui chantent, qui dansent, des mots qui magnifient l’amitié, des mots complices qui me saluent, des confidences, des cris de désespoir aussi, de tristesse parfois.

    Le seul fait d'exister ... Je remercie, je rassure, je console, je souris pour provoquer un sourire, là, par écrans interposés. Et je repense à Blaise qui trempe sa plume dans la VIE.

    Si le bonheur n’entre pas par la porte principale, il trouvera bien son chemin par des portes latérales, par les fenêtres ou par les toits. Mais il entrera un jour ! Il vous prendra dans ses bras et vous portera tel un prince charmant sa princesse. Il faudra juste le reconnaître.

    Exister et Bonheur en symbiose !

     

     

     

     

     

     

     








    Et de deux !

    30/06/2013 08:33

    Et de deux !


    Avec qui partager mes petits moments simples de bonheur, sinon avec vous mes amies et amis blogueuses, blogueurs. Hier, journée dédicaces à Cultura de Marseille la Valentine, pour présenter "Lettre à pépé Charles".

    Est-ce parce que Marseille est la capitale européenne de la Culture ?

    Est-ce parce que Marcel Pagnol est au programme dans les collèges ?

    Est-ce parce que l’été s’installe enfin dans notre coeur et régénère notre bonne humeur ? Hier à Cultura de Marseille La Valentine, "Lettre à pépé Charles" me quittait allègrement pour entrer dans de nombreux foyers marseillais. Mon plus grand bonheur (et satisfaction pourquoi le cacher) était de voir des jeunes adolescents de 11 à 15 ans le mettre en concurrence avec "La gloire de mon père" livre à lire pour la rentrée scolaire . J’attends humblement leurs commentaires promis.

    Vendredi j'ai reçu une deuxième chronique chaleureuse et enthousiaste que je vous laisse découvrir
    http://livrogne.com/2013/06/lettre-a-pepe-charles-annette-lellouche/

    En rappel celle d'Annie Forest

    http://lecritoiredesmuses.hautetfort.com/archive/2013/06/15/lettre-a-pepe-charles.html

    Ce matin, les yeux encore fermés malgré mes deux tasses de café, je repense à tous ces kilomètres engloutis (hier 300kms), à toutes ces journées, le ventre presque creux (me nourrissant de la sympathie et des commentaires des lecteurs) et je me dis "oui le jeu en vaut la chandelle".

    Pensées émues pour deux adorables jumelles Cassiopée et Bellana, pour Richard Coeur de Lion il se reconnaitra, pour Illana qui m'a promis ainsi qu'à sa maman de lire "Gustave" et de me téléphoner, pour Anne et sa générosité, pour Loris adorable petit bonhomme très éveillé et sûrement futur auteur, il connait déjà le titre de son livre "Histoire de ma vie", Laurent et Clément ....








    "Les deux guitares"

    27/06/2013 09:19



    "La bonne musique ne se trompe pas, et va droit au fond de l'âme chercher le chagrin qui nous dévore" de Stendhal

    Il se fait tard et le sommeil tarde à venir, un bouton poussé machinalement et déjà quelques notes de musique envahissent l’espace. Mon espace.

    Charles Aznavour entre chez moi sans y être invité. Je ne l’ai pas entendu frapper à ma porte. Je ne lui ai rien demandé, mais voilà il est là. La magie des ondes qui m’apporte « les deux guitares » …

     

    Entendez-vous cette musique qui vous dévore

    Qui tourne en boucle, toujours encore et encore

    Elle est là et vous répète à l’envi

    Souviens-toi, souviens-toi aussi

     

    Cette musique qui règle le tempo

    Sur des souvenirs met des mots

    Sur des images va crescendo

    Sur la vague surfe allegro

     

    Sur le cœur tel un rasoir

    Griffe et laboure la mémoire

    Pleurs de sang, rires de larmes

    Entendez-vous cette musique vacarme

     

    Tais-toi Charles, va-t-en

    Range tes deux guitares

    Ce soir c’est bien trop tard

    Pour remuer les souvenirs d’antan








    Boulouris

    23/06/2013 09:59

    Boulouris


    Hier samedi, matinée dédicaces à la fête de la Saint Jean à Boulouris. La Librairie presse de Boulouris m'a invitée. J'ai accepté avec bonheur car je n'ai encore jamais eu l'opportunité de dédicacer dans ma ville. Il faut que je vous explique que Boulouris est une des plages de Saint Raphaël. Boulouris a un petit port, des criques, un petit centre ville avec son marché et surtout c'est un petit village où tout le monde se connait, où de nombreux résidents vacanciers y séjournent plusieurs fois dans l'année. Notamment des bretons. Paisible village avec ses associations caritatives, son église, ses maisons fleuries et sa gare.
    Pour la fête de la Saint Jean, danses folkloriques, artisanat et la calèche qui promène gracieusement  petits et grands pour un tour de ville. D'entendre les sabots lourds qui lentement martelaient le sol, une image ancienne me revint à l'esprit. À cette époque-là, à ce moment de ma jeune vie, j'ignorais ce que l'avenir me réserverait. Une belle surprise de taille ! Lorsque qu'une vieille dame m'a dit en feuilletant "Gustave" et en découvrant mes illustrations "vous êtes une artiste complète" j'en ai été très surprise. Moi une artiste ? Non ! Je n'ai rien ajouté de plus ... Cela aurait été trop long de tout raconter. Juste une belle revanche !
    Me voici donc assise à ma petite table vert amande, face à mes livres, sous un soleil de plomb, à me ronger les sangs en me demandant comment on allait me recevoir dans ma ville. Eh bien j'ai été fort agréablement surprise de rencontrer des gens qui avaient laissé au vestiaire leurs préoccupations car tout le monde en a, il ne faut pas se leurrer. Ils étaient venus là pour vivre un moment de joie. Sans prise de tête, sans réflexions désabusées, sans remarques narquoises. Les rencontres amicales étaient au rendez-vous.
    La matinée démarrait très calmement, lorsqu'un jeune gaillard m'a apostrophée "Retourne de là où tu viens" ? (titre de mon roman). Je m'appelle "Mamadou" faites-moi une belle dédicace et je vais envoyer votre livre à mama. Vous savez ajouta-t-il, dans Mamadou, il y a Mama qui est dans mon coeur et qui me protège et doux car je suis quelqu'un de gentil. Ça va lui faire très plaisir et vous, ça va vous porter chance. Ça ne s'invente pas ! Il m'a vraiment porté chance. Je ne suis pas superstitieuse mais j'y crois.
    Un gentil couple m'a écoutée religieusement. Lui me dit avec timidité : "nous lisons un livre par an, alors vous savez ... Et elle de répondre : oui mais vos livres sont sympathiques. Lui, Jean, voulait "Gustave", elle, Christiane, voulait rêver avec "Un soir d'été en Sardaigne". Ils n’ont pas hésité longtemps. J'espère que mes romans ne les décevront pas.
    Un petit garçon m'a dit "oui je connais Gustave". Ah bon lui ai-je répondu, tu l'as lu ? Non mais je connais Gustave. Gustave Eiffel. C'est déjà ça pensai-je, mais on ne me l’avait pas encore faite celle-là ! À présent il connaîtra mon Gustave, mon chêne.
    Tristan a voulu une dédicace pour une amie. "Un soir d'été en Sardaigne" a ouvert les vannes de ses souvenirs. Il me récita une poésie qu'il avait écrite à sa bien aimée. Elle ne l'avait pas attendu lorsqu'il partit deux ans en Algérie et il ne s'en était jamais remis.  Plus il racontait des bribes de sa vie et plus j'avais l'impression de le retrouver dans mon roman. Un moment magique, unique et inoubliable.
    Il y a eu Germaine. Elle a mis longtemps à accepter son prénom. Comme moi. Et comme moi aujourd'hui elle a fait la paix. Elle est repartie avec mon roman témoignage. Il y a eu Chantal, attention sans "E". Il y a eu Coline, qui habite juste la maison là, en face. Coline ou Céline ? ai-je dit au moment de la dédicace. Il y a un tel bruit que je n'ai pas bien compris. Coline avec un seul "L"! Elle m'en donna la raison avec beaucoup d'émotion. Il y a eu ...
    Beaucoup de témoignages, beaucoup de sympathie, beaucoup d’humour et de joie de vivre.
    Tapis rouge dans ma ville.








    à mon ami Augusto

    21/06/2013 08:45



    Depuis quelques jours nous assistons impuissants à la colère du peuple Brésilien. Une frustration populaire s’élève face à la gabegie des dépenses pharaoniques de l’organisation de la Coupe du Monde de football. C’est pourtant un pays où le football est roi, mais où la phrase célèbre de Marie-Antoinette pourrait être resservie « Ils n’ont pas de pain, qu’ils mangent de la brioche ».  Ce matin, un homme est mort. Il n’a plus besoin, ni de pain ni de brioche !

    Justement ce matin je reçois un mail d’un Brésilien, Augusto. Je vous en avais déjà parlé. Une chronique sympathique de livrogne.com à propos de mon roman « Un soir d’été en Sardaigne » lui a donné envie de le lire. Il me l’a commandé et depuis nous entretenons une amitié via Internet.

    Voici ce qu’il m’a écrit hier soir, reçu ce matin (décalage horaire oblige) :

    Bonsoir Annette.
    Je suis en train de lire votre roman : Veronique a acheté un appareile photo dans le magasin de Julien.  Lorsque les photos commence se révéler, elle s'a surpris avec  la figure de Serge, son amant.  Un coup de sonnette et autre surprise: Julien, le vendeur. Elle, alors, a découvert que il est fils de son amant. 
    Que trame bien ourdiée. Veronique a un fils qui s'appelle Mathieu. Sera, par hasard, le même Mateo de la Sardeigne? Ou lá, lá, que trame sensationnel !! Je suis vraiment enchanté.
    Annette, savez-vous que Il y aurait la Coupe du Monde dans l'anné proche. Le peuple brésilien ne concorde pas, parce notre pays necessite de l'hopîtal, d'école, d'université, des routes, des chemins de ferre et autes choses. Il y a beaucoup de choses a faire. Je peut à vous et à votre amis que ne vient pas pour voir cette Coupe. C'est une honte, un pays où la majorité de le peuple est pauvre et vive très mal, ne peut pas dépenser US$ 30 billion de dollars pour faire une fête de football. 
    Les politiques sont mauvais et ne pensent pas dans le peuple.
    À bientôt.
    Augusto. 

    La première partie de son mail m’a beaucoup touchée. Je suis contente que notre bonne langue française parte de l’autre côté du monde et séduise un lecteur qui lui-même parle français … tant bien que mal … et c’est tout à son honneur !

    La deuxième partie, qui n’est autre qu’un cri de révolte, m’interpelle. Mais tous ces dirigeants élus par le peuple sont-ils devenus fous, sourds et aveugles, ou si incompétents qu’ils provoquent des ras-le-bol ?

     

    Mon cher Augusto, J’espère que tout va rentrer dans l’ordre dans votre si beau pays. Je suis allée au Brésil, j’ai vu le Corcovado, magnifique statue, Rio, l’immense plage de Dos Santos ... J’ai gardé de merveilleux souvenirs de ma croisière en Amérique du Sud.  
    Je vous embrasse de tout mon cœur, moi la petite auteur qui ne sait que raconter de belles histoires d’amour, qui ne sait que faire rêver mais il y a le rêve et hélas il y a la réalité...








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