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Vacances de février
15/01/2018 06:39
Noël est loin derrière nous... déjà ! Se profilent les vacances de février. Il faut occuper nos petits chérubins, alors "Gracieuse et Panache... " nos deux détectives seront là pour les faire rêver et pourquoi pas participer au concours de coloriage... Déjà quatre gagnants récompensés et bientôt quatre de plus pour le tome quatre en écriture. Pour les plus grands et pour tous « Gustave et « Lettre à pépé Charles » (du sucre d’orge), pour les adultes "La Miraculée (Un récit témoignage pour une réelle prise de conscience, pour ne pas dire « je ne savais pas », bourré d'humour) ou "Un soir d'été en Sardaigne" pour rêver et bien sûr avec un suspense "La clé de l'embrouille ».
Pour commander http://a5editions.fr. Expédition sous quarante-huit heures, frais de port offerts.
Merci par avance.
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MOMO...
13/01/2018 08:10
Si vous avez envie de passer un bon moment, suivez le guide.
Avec mon amie Claire, nous voilà devant les affiches au cinéma et hésitantes. Après « la promesse de l’aube » que voir ? Bof, bof, bof et puis allez ! Pourquoi pas MOMO me dit Claire, j’ai envie de rire. Le duo, Catherine Frot et Christian Clavier, nous semblait improbable, des bandes annonce vues à la télé un peu nunuches… Bof, bof, bof. Claire voulait rire et bien lui en a pris.
Nous avons ri aux larmes, et toute la salle avec nous, du début jusqu’à la fin. À la fin nous avons essuyé furtivement quelques larmes d’émotion.
Le sujet est pourtant assez grave et si les dialogues et le jeu des acteurs n’étaient pas aussi performants, cela ne prêterait même pas à sourire.
Un handicapé en recherche de ses parents vient bousculer la vie paisible d’un couple de bobos. Et le passé rejaillit, les quiproquos s’enchainent, les souffrances sont à fleur de peau, les sujets dérangeants de notre société sont juste ébauchés, sans vulgarité, à peine caricaturés… Mais on rit parce qu’on sent venir la belle fin de cette aventure rocambolesque. La fin va en surprendre plus d’un, même si la chute n’obéit qu’à une lettre sur la toile... Mais chut… je ne vous en dirai pas plus.
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Gracieuse par la Poste...
12/01/2018 11:46
Quand mamie Pascale, aussi passionnée que son petit-fils Raphaël, me commande le Tome 3 « Gracieuse et Panache au Haras » et choisit un timbre postal avec « Gracieuse cui cui cui », comme dans le Tome 2… cela s’appelle du BONHEUR. Une pensée délicate qui me touche ! Une belle aventure qui n’est pas prêt de se terminer. MERCI
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Il est arrivé...
10/01/2018 07:06
« Gracieuse et Panache au Haras » est arrivé… Les trois gagnants du concours de coloriage du Tome 2 « Gracieuse et Panache à la fête de l’école » vont recevoir leur exemplaire en cadeau. Je voudrais être une petite souris et me glisser chez eux pour voir leur visage épanoui, leur fierté aussi d’avoir gagné le concours et je leur laisse la surprise de se retrouver également dans le texte.
Alors ce matin, du tréfonds de moi-même je ressens une immense gratitude pour mes maîtresses qui m’ont permis d’aller chercher, au bout de 10 bons points et d’une image, un livre dans l’immense bibliothèque de l’école, que je pouvais rapporter fièrement à la maison. Qui ont encouragé ma soif d’apprendre, ma gourmandise des mots, des histoires, des contes, pour rêver lorsqu’on n’a que cela comme trésor…
Je voudrais remercier tous ces grands-parents, ces parents qui m’ont fait confiance lorsque j’ai commencé cette nouvelle aventure « écrire pour les 6/8 ans ». Merci aux directrices d’écoles et aux maîtresses qui m’ont ouvert leurs portes, celles de l’école et de leur cœur.
Et merci à tous ces enfants, qu’ils aient concouru ou non, de rester fidèles aux aventures de « Gracieuse et Panache ». Le Tome 4 cogite déjà dans ma tête. Promis je ne vous ferais pas attendre… Mais ne bousculons pas le temps, chaque chose en son temps répétait ma mère à la petite fille pressée que j’étais, comme ces merveilleux gamins que je rencontre… Alors découvrons ensemble le Tome 3 « Gracieuse et Panache au Haras ». MERCI.
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"La promesse de l'aube"
06/01/2018 08:47
« Avec l’amour maternel, la vie nous a fait à l’aube une promesse qu’elle ne tient jamais » de Romain Gary
Première séance de cinéma en cette nouvelle année 2018, avec mon amie Claire et sa fille, en vacances dans notre région. À l’unanimité nous avons choisi « La promesse de l’aube ». Comédie dramatique de Éric Barbier avec Charlotte Gainsbourg et Pierre Niney.
Je connaissais la vie de Romain Gary ayant pratiquement tout lu de lui. J’avais adoré son pied de nez au prix Goncourt en le recevant une deuxième fois sous le pseudonyme de son cousin Émile Ajar. Je le cite dans mes modestes écrits : « Au-delà de cette limite votre ticket n’est plus valable »… Il n’avait jamais craint de dépasser les limites de l’absurde, il relevait les défis comme les pêcheurs leurs filets, ne se contentant pas de publier sous son nom qui commençait à être connu. La pêche était toujours excellente, scandaleuse parfois mais riche toujours. Ticket gagnant ! Donc il me tardait de voir cette deuxième réalisation racontant « le duel amoureux » mère/fils… Plus elle le provoquait plus il se dépassait.
Au-delà du jeu époustouflant de Charlotte, méconnaissable dans ce rôle et ressemblant à sa mère Jane Birkin à s’y méprendre, ce qui laisse augurer de son physique dans les années à venir… De ce destin hors normes de Romain Gary que l’amour maternel guidera tout au long de son existence… De son amour filial porté au paroxysme au point de vivre sa vie par « vengeance » (venger sa mère) par « fidélité » (fidèle à celle à qui il avait tout promis), je m’interroge…
Plusieurs questions se profilent au portillon de mes questionnements. Une mère peut-elle à ce point exiger de son enfant un chemin qui n’existait que dans ses délires… Et quels délires ! « Tu seras diplomate, écrivain, grand officier… ». Elle le harcelait, le brutalisait, le sermonnait, l’embrassait, l’aimait tout à la fois.
Et lui, tout au long de sa vie, était à ses ordres, ses désidérata, se pliait à ses exigences comme s’il y allait de sa survie… De leur survie à eux deux… Il aimait « la femme » écrivait-il, et non « les femmes »… La femme, à travers la femme de sa vie, sa mère.
Sa présence obsédante, de jour comme de nuit, le protégeait de près comme de loin. Cette mère il l’aimait de toutes es forces… de toute sa vie. Et de sa vie à elle, qu’elle avait réduite à la réussite de son enfant, ayant été abandonnée par son mari. Ce père dont Romain Gary ne parlait jamais (jouait-il inconsciemment le rôle de remplaçant) ? Alors Amour de substitution ? Amour par procuration ? Amour fusionnel exacerbé ?
Cela aurait pu tourner au gâchis, cela fut une très belle réussite. Et l’Amour dans tout ça ? Je m’interroge encore…
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