« C’est la vérité qui compte. C’est la droiture… La vérité c’est souvent la conséquence de l’engagement et de l’effort « Olivier de Kersauson
Bonjour mes amies et amis, petits et grands.
Un rapide retour sur ma journée dédicaces de samedi 13/7/24 à Cogolin.
Journée extrêmement fatigante, la chaleur, la foule, le bruit… L’environnement également n’était pas favorable, des mètres linéaires de cahiers de vacances et moi ma petite table au bout. Le défi était lancé !
Comment proposer aux parents mes contes jeunesse quand ils avaient déjà choisi les cahiers de vacances, sachant que les budgets sont limités ?
C’était sans compter avec les mamies, leur générosité et leur amour inconditionnel pour ces chers petits qu’elles avaient récupérés pour les vacances. Des papas et des mamans aussi très à l’écoute.
C’était également sans compter avec les vacanciers qui avaient besoin de décompresser après une année aussi compliquée.
C’était surtout sans compter avec ma fierté d’être là, de partager, de raconter…
À 16h je n’avais plus de « Lettre à pépé Charles » ni de « Gracieuse et Panache quand je serai grand… », mes deux chouchous ! Mes deux sucres d’orge. MA VÉRITÉ !
Merci à Tessya de BRUXELLES, Livia, Balthazar, Tessa, Agathe, Jacky, Mara… d’un peu partout, les touristes sont là et bien là !
Merci à Elsa et Matteo, frère et sœur, comme mes deux personnages d’un Soir d’été, (pure coïncidence).
Merci à Maëllyss, : la fleur de lys. Quel joli prénom !
Comme à chaque séance de dédicace il y a LA RENCONTRE qui me marque. Il s’appelle HENRI. Il semblait bien triste et désemparé. Très vite j’apprends pourquoi et très vite je comprends qu’il me faut lui prêter une oreille plus attentive, trouver les mots pour l’aider. Nous avons longuement échangé. Il est reparti avec la saga « Un soir d’été et À l’assaut du bonheur ». Nous avons échangé nos adresses mails. Il m’a promis de m’écrire.
Vers 16h45, Il faut savoir que mon amoureux n’en pouvait plus de m’attendre, il faisait les cent pas sans rien oser me dire, me voyant tellement dans mon élément ! M’encourageant même ! Mais j’étais aussi à ramasser à la cuiller et nous avons repris la route des plages (la seule qui mène à la maison) très encombrée à la veille du 14 juillet.
Moralité : ne jamais se décourager, il faut juste y croire !.