Lorsque j'ai écrit mon roman "Un soir d'été en Sardaigne" j'ignorais qu'un an plus tard, le sujet serait d'actualité. Un sujet brûlant monopolisant toutes les énergies. Les pour et les contre. Les convaincus, les hésitants, les jusqu'auboutistes ... Et les politiques !
Julien et Matéo, tous deux mariés et l'un est même père d'une petite fille, se rencontrent dans une boite de nuit un soir d'été en Sardaigne. C'est le coup de foudre. Tout bascule. Le retour dans les familles hostiles est très difficile. Ils se cherchent, se trouveront-ils ? Trouveront-ils la véritable solution d'apaisement ? Les amours auront-elles raison des pressions ?
J'ai essayé d'analyser la situation qui dégénère et qui soulève tant de questions existentielles.
Je peux comprendre l'amour sous toutes ses facettes. Je peux comprendre qu'il faut transformer la raison en passion; la raison n'est pas de taille à lutter contre la passion (Spinoza). Que serait la vie sans passion ? Que serait une vie raisonnée où toute émotion disparaitrait ?
Mais à une condition de ne pas faire souffrir les autres. Et moi j'ai peur pour les autres. Pour les enfants !