Voilà plusieurs jours que je ne suis pas passée par là !
Une activité dense m'a éloignée un peu de mon blog. Et pourtant il y a un sujet que je voudrais partager avec vous : "La journée du Bonheur" décrétée par l'ONU.
Je ne savais pas que le Bonheur se décrétait, se décidait, se formalisait, s'imposait, se fixait à une date précise.
Le Bonheur un simple decrêt ? Une simple formalité ? D'ici à ce qu'il devienne une simple obligation, il n'y a qu'un pas ! Juste un jour par an et le reste de l'année ? Insupportable cette idée d'un Bonheur programmé !
Et si c'était un devoir ? Un devoir envers soi-même pour qu'il se reflète sur l'autre ?
. Sourire même quand on n'en a pas envie, rien que pour ne pas pourrir une ambiance de fête.
. Être généreux même quand la vie se montre avare avec vous !
. Accepter les situations les plus difficiles pour être prêt lorsque le Bonheur tapera à la porte !
. Ramasser chaque jour toutes les petites fleurs qui jalonnent le chemin, cligner des yeux au soleil ardant, chanter, courir, danser même sur un lit de cailloux !
Au bout il y aura forcément le Bonheur. Il est en chacun de nous. Il se reconnaitra dans le regard de l'Autre. Alors le devoir de Bonheur se transformera en feu d'artifice. Il crépitera longtemps et chaque étincelle qui retombera sera le fruit de l'effort.
N'attendons pas trois cent soixante quatre jours pour cela, donnons-lui rendez-vous au quotidien. Même au compte gouttes, même par bribes, c'est toujours bon à prendre.