Bonjour mes amies et amis.
Ce matin je voudrais remercier chaleureusement le Père Noël. Je n’ai jamais cessé d’y croire, même dans les moments les plus difficiles de mon existence.
Je ne lui ai rien demandé pour cette année. Je me suis dit « ce qui viendra sera des souffles de bonheur ». J’ai semé, vais-je récolter ? Ma mère me disait toujours « va avec ta naïveté, tu vaincras »…
Ô combien Père Noël tu as été généreux ! Ô combien tu as été attentif sachant que pour moi l’Amitié est le pilier de ma vie… de toute vie…
Hier matin, tu as fait croiser ma route avec une amie, Monique Naccache. Une amie de mes premiers pas d’auteure. FB et ses algorithmes. Il choisit pour nous qui doit nous aimer ou pas. Père Noël, tu as été le plus fort, puisqu’au hasard d’un échange avec une « amie » de Monique, celle-ci est apparue. Elle m’a téléphoné et nous allons reprendre nos échanges, là où ils se sont arrêtés. Monique organise des ateliers d’écriture et de lecture à l’autre bout du monde.
En fin de matinée le facteur est passé. Il est en quelque sorte aussi un Père Noël, puisqu’il a glissé dans ma boite aux lettres la carte de vœux de ma petite-fille de cœur Mathilde. Une carte entièrement confectionnée et coloriée de ses petits doigts de fée.
Jamais deux sans trois… Ce matin, un mail d’Augusto Granja. Mon lecteur brésilien de mon premier roman, il y a près de douze ans. Nous avions fait connaissance sur Linkedin (virtuellement), sommes toujours restés en contact via FB et nos boites mails. Il publie des cahiers littéraires d’auteurs de renom, Shakespeare, Kafka, Camus, Hemingway... Et là son cahier N°6, devinez… il l’a réservé à Annette Lellouche. Moi, la petite auteure de l’ombre.
Bravo Augusto pour ta maîtrise du français et un grand merci pour ton amitié indéfectible.
Je pense que le Père Noël est reparti sur son traineau, il doit être fatigué, mais il reviendra l’année prochaine. Et je partage avec vous, mes amies et amis, le souhait de ma petite-fille de cœur Mathilde « Bon bout d’an et à l’an que ven ! ».