« Réveille-moi donc ton sourire ; il suffit d’une minuscule graine d’espoir pour planter tout un champ de bonheur, et d’un peu plus de patience pour lui laisser le temps de pousser ». Marc Lévy
Mon sourire ne s’est jamais endormi, ni l’espoir, ni la patience.
Ma mère me disait « Laisse-moi vivre aujourd’hui, tues-moi demain ». Ma mère qui m’a enseigné la Hargne pour la gagne !
Aussi, le cœur vaillant, après 3h de route pour parcourir les 63 kms qui me séparent de Bormes les Mimosas, après un très sympathique déjeuner chez Annie et Philippe, un couple d’amis borméens (initialement couple de lecteurs rencontrés à ma première séance de dédicace à Bormes il y a 5 ans), après quelques péripéties pour mon installation, me voici en place. Je savais d’instinct que ce serait ou tout bon ou tout mauvais, avec cette Covid… La main qui me serre la gorge est omniprésente mais se desserre tout aussitôt.
Je ne vais pas comme à l’accoutumée, vous narrer en long et en large toutes mes rencontres, mes dédicaces, tous nos échanges en coup de cœur…
Je voudrais juste tout d’abord remercier Dominique, l’organisateur de ce salon. Un sans faute ! Très belle communication au sein de l’association et en externe. Un plateau repas nous a été distribué ainsi qu’une bouteille d’eau.
Merci à la journaliste qui s’est déplacée pour nous.
Merci à Monsieur le Maire François Arizzi sans qui ce salon n’aurait pas eu lieu et qui est venu à notre rencontre avec quelques élus. J’ai eu l’immense honneur de l’avoir à mes côtés lors de la prise de la photo traditionnelle de l’ouverture du salon.
Et enfin et surtout, merci aux Borméens, venus en nombre nous « déplumer » allègrement de nos livres, le sourire aux lèvres et la curiosité de découvrir nos plumes...
Merci à Jacqueline et son époux, amis de mes amis borméens, fidèles lecteurs.
Beaucoup de touristes également :Manon de Lille, Claude de Montreuil-sous-Bois, un Américain du Michigan où mon petit-fils termine ses hautes études (hasard des rencontres).
Merci à Julie, Ugo, Éloïse, Ezio, Céline, Maël, Françou, Filipa, Justine, Caroline et d’autres dont hélas je n’ai pas eu le temps de noter le prénom, aux parents dont les enfants sans hésiter choisissaient « Gracieuse et Panache » après avoir fait le tour du salon ; mon plus beau cadeau est de les voir revenir, le sourire aux lèvres pointant du doigt « Gracieuse… »
Dans un article précédent je vous écrivais que je ne pourrais plus vivre sans ces étincelles de bonheur… Ma vérité, mes livres. Alors je continue, quoiqu’il m’en coûte, retour à la maison à 00h45.
Merci à mon chauffeur, mon fidèle amoureux, mon fan de la première heure ; Knock out il n’a pas demandé son reste.
Hasta Luego. À l’année prochaine si Dieu le veut… Si vous le voulez bien. MERCI.